La Fédération québécoise des sports cyclistes (FQSC) a finalement entendu les appels maintes fois lancés, au cours des dernières années, et elle a décidé de passer à l’action.
En effet, une offre d’emploi vient d’être publiée, sur le site de la FQSC, pour occuper le nouveau poste de coordonnateur aux communications, essentiel pour porter le message de l’organisme hors de la coquille dans laquelle il s’était enfermé, ces dernières années.
Le développement du cyclisme dépend, en partie, de sa visibilité et de l’attrait qu’il pourra, ainsi, exercer auprès des jeunes. Avec un coordonnateur aux communications, on devrait s’assurer que l’information se rende aux bons endroits… rapidement.
Un coordonnateur efficace verra, entre autres, à ce que les résultats soient disponibles pour tous les médias dans les heures (deux… maximum) qui suivent la fin d’une compétition. Pas le lendemain, encore moins deux jours plus tard. La régularité fera le reste.
Pourquoi voit-on les résultats de tennis, de soccer, de hockey et même de la série NASCAR, dans les grands quotidiens, alors qu’on ne voit jamais les résultats des courses cyclistes (à part le Tour de France)? Régularité.
Un coordonnateur efficace verra, aussi, à ce que les organisateurs, que les directeurs d’équipe, que les athlètes se manifestent et répondent aux messages qu’on leur envoie. Même quand ça va moins bien.
SDV*MAG perdra peut-être quelques exclusivités, en cours de route, mais il y aura toujours de la place pour le matériel inédit, pour le travail original, pour le travail de terrain et pour la créativité.
Au bout du compte, le cyclisme en sortira gagnant. Nos lecteurs itou!
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