Dopage : un sujet dont, malheureusement, on n’a pas fini d’entendre parler.
Mais s’il y a un côté positif, dans le scandale actuel, c’est que, finalement, il incitera les autorités dites compétentes à bouger. Les promesses devront impérativement se traduire par des gestes concrets. Le public le réclame, les coureurs aussi.
Dernier exemple, dans la liste de ceux qui exigent plus de fermeté : Joaquim Rodriguez. Le numéro un mondial, en 2012, s’est prononcé en faveur de sanctions très sévères à l’endroit des tricheurs, qu’ils soient coureurs, médecins ou porteurs d’eau. « Qu’on les banisse à vie ! » À lire…
Est-ce LA solution ? Faudrait en discuter. Quand c’est pour les autres, on a tous tendance à prôner la vertu absolue. La clémence quand on est fautif.
Cyclisme Canada a publié un résumé de sa position, suite à son assemblée générale annuelle, et il est souhaitable que le message soit entendu à tous les niveaux, dans toutes les disciplines sportives, sur tous les continents.
Il est également souhaitable que les jeunes qui veulent pratiquer un sport à un haut niveau, comprennent qu’il est possible de se dépasser… sans dépasser les limites du bon sens.
Après l’examen de conscience, place à l’action !