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Journée en dents de scie, en cette dernière journée du mois de Marie, dans Charlevoix. En dents de scie, pour certaines personnes, à tout le moins, pour l’auteur de ces lignes (problèmes technologiques), et ceux qui ont vu des arbres tomber sur leur maison ! En dents de scie, avec la pluie, le vent et le soleil qui va, qui vient, part et revient… juste avant d’aller se coucher.

En après-midi, des poussées de chaleur jusqu’à 31 degrés, dans LA côte (Sainte-Croix) à 19 degrés que devront gravir les coureurs, en après-midi, samedi. Le soleil y fait son oeuvre, sur le pavage qui réfléchit la chaleur, entre les arbres. Un fourneau !

Faudrait bien parler des athlètes qui, en critérium, vendredi, se sont démenés, comme des diables dans l’eau bénite, pour amorcer cet exigeant week-end de compétition cycliste… Mais, pour eux, le plus dur reste à venir. Le contre-la-montre, en avant-midi, samedi, Chemin Saint-Laurent ? Un échauffement… avant l’épreuve de l’ascension, en après-midi. Le « crit », au fond, c’est de la rigolade !

Pourtant, à l’école, on nous disait que l’ascension suivait le calvaire et la crucifixion ! Que c’était la délivrance. Me semblait !

Dans Charlevoix, rien n’est pareil. La vraie vie, ça ne marche pas toujours comme on l’entend.

L’ascension, c’est la trouvaille des organisateurs pour séparer les vrais grimpeurs des sprinteurs et autres coureurs dont le gabarit ne convient pas à la topographie du lieu. Un beau défi qui, dimanche, sera complété par un routier pas piqué des vers. On y reviendra, avec les témoignages recueillis au cours du week-end.

D’ici là, quelques images – les seules qui ont bien voulu passer – prises vendredi, à Baie-Saint-Paul, lors de la première étape du Grand Prix cycliste de Charlevoix 2013. Quelques… puisque la techno n’a pas voulu collaborer ! Grrrrrrrrrrr…

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