C’est probablement mon impatience (je ne suis pas le seul) à voir l’hiver se terminer, qui me porte à chercher des façons de l’écourter ou de me mettre dans l’ambiance vélo avant que la belle saison – la nôtre – ne soit arrivée.
Si, dans mon cas, l’envie de partir en cavale n’est pas toujours accompagnée du temps requis et du budget qui va avec, rien ne m’empêche de rêver (ça fait déjà un peu de bien)…
Quant à ceux qui ont le temps et le budget, voici une suggestion d’évasion pour le mois de mars qui s’en vient…
Le Mid-West américain est un vaste territoire qui recèle de nombreux secrets, jusqu’ici bien gardés. Le vélo de montagne est l’outil idéal pour y faire des découvertes et filer sur des sentiers sauvages où l’on a parfois l’impression que, comme on dit parfois à la blague, «la main de l’homme n’a jamais mis le pied!».
Luc Beaudet, un vrai gars de vélo de montagne, est un spécialiste de ce coin de pays. Il y roule sa bosse depuis près de 20 ans, participant même à la construction de sentiers qui, aujourd’hui, comblent les cyclistes en quête d’évasion.
«Du vélo de montagne pour les vrais», lance la brochure de son agence, Aventure monde (www.aventuremonde.com). L’un des nombreux forfaits proposés vous amène, dit-on, «dans les sentiers les plus reconnus du Mid-West américain… pour des personnes d’expérience… sans toutefois être expertes». On vous promet le «top 10» de cette région désertique pleine de sentiers spectaculaires.
Le point de rencontre est Las Vegas. De là, on vous amène dans les montagnes et les collines de la région de Red Rock et Cottonwood. «Trois jours de pur plaisir… Des « single tracks » sur lesquels vous roulerez sans relâche en parcourant le pays de l’âne et du Road Runner».
Puis, on passe à la région de St.Georges, dans «des sentiers à peine plus larges que votre pédalier, sur les « Mesa » (plateaux) les plus impressionnantes de cette région, des falaises avec vues plongeantes sur les vallées désertiques, des canyons à perte de vue… Les sentiers sillonnant ce désert de rochers rouges, se composent de « single tracks » de « slick rock » et de terrains arides, secs et sauvages».
Cinq autres journées avec un périple quotidien variant entre 20 et 70 kilomètres.
Ça vous donne le goût?
Les photos qui accompagnent ce texte sont une courtoisie de Aventure Monde.
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