Surtout quand ça se passe en milieu urbain. Dans le bois? «Y’a pas d’intérêt, pas de visibilité possible», poursuit le directeur général du Pentathlon des Neiges, une activité hivernale dont la popularité a explosé au cours des deux dernières années.
L’action, imprévisible, est pleine de rebonds. Chacun y va pour soi. Pas question de lever le pied, sauf quand on le perd, dans une montée ou en glissant dans la boue. Il faut s’amuser, se défoncer… et en rire quand on n’arrive pas à garder le rythme. La notion d’équipe, de stratégie pour contenir un coureur, ne tient pas la route. C’est la spontanéité, la réaction aux difficultés du moment qui fait foi de tout.
Voici une série d’images prises en fin de semaine, au Parc Chauveau de Québec, «un site qui a un potentiel énorme, avec ses estrades naturelles», prétend François Calletta. Reste à convaincre les autorités du bien-fondé d’y retourner… car le passage des vélos laisse quelques traces (que l’on promettait de faire disparaître le plus vite et le mieux possible).
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